Réaction au délibéré politique du jugement  de l'affaire opposant la RIVP  à Frigide Barjot

Réaction au délibéré politique du jugement de l'affaire opposant la RIVP à Frigide Barjot

Les Amis de Frigide Barjot ActualitésCommuniqués de presse

COMMUNIQUÉ DE PRESSE

L'Association des Z'Amis de Frigide Barjot s'indigne de la décision politique d'expulsion renforcée par le caractère exécutoire forcé que rien ne justifie

Les Z’amis de Frigide Barjot déplorent la décision du juge d'instance du XVème ardt qui a condamné ce matin les époux Tellenne et leurs deux enfants mineurs à l'expulsion exécutoire de leurs deux appartements, à la suite de la poursuite lancée le 10 juin par La Régie Immobilière de la Ville de Paris, leur bailleur depuis 1983 et 1993. Cette décision n'est pas juridique, mais politique, ne serait-ce que quand on découvre que le président de la RIVP n'est autre que Pierre Aidenbaum, maire PS du 3ème ardt de Paris, militant pro-mariage homo bien connu pour avoir célébré le premier mariage gay à Paris. Alors que Frigide Barjot est victime depuis des mois d'accusations plus diffamatoires les unes que les autres qui tendent à discréditer tout le mouvement qu'elle a conduit pendant des mois et pour lequel elle continue de mobiliser les citoyens, la décision rendue ce matin par le Tribunal d'instance du XVème arrondissement de Paris, qui a écarté tous les arguments de droits des défendeurs et a décidé la résiliation judiciaire des deux baux assortie d'une expulsion exécutoire avec appel non suspensif, confirme la volonté du pouvoir de briser définitivement le mouvement citoyen qui s'est levé contre la loi Taubira et qui se mobilise aujourd'hui contre l'avancée masquée de la loi Bertinotti pour imposer la PMA et l'éclatement de la filiation.

Frigide Barjot et Basile de Koch sont parfaitement éligibles au logement à loyer libre de la RIVP et ont toujours payé un loyer de 3600 euros par mois , mais le juge, dans la décision rendue ce matin, a écarté les preuves des époux Tellenne dont l'autorisation de domiciliation de la sarl Jalons par la RIVP. Pourtant un courrier de la RIVP du 6 janvier 1986 accuse « réception [d'une] lettre du 17 décembre relative à la domiciliation […] d'une Société à Responsabilité Limitée » et indique que « c'est volontiers [que la RIVP leur] donne cette autorisation ».

Par ailleurs, la RIVP n'a apporté la preuve ni de la sous-location d'une partie des locaux, ni l'exploitation commerciale de ceux-ci par la SARL Jalons, qui ne reçoit pas de clientèle, ni n'a aménagé de bureaux, comme un constat d'huissiers avec photos en atteste. Et prouve la destination bourgeoise – quoique plutôt domestique (comme l’ont constaté les huissiers venus inspecter l’appartement) – de l'utilisation des locaux.

Il y a donc dans cette décision une méconnaissance des règles de preuves, et la reprise sans maquillage ni motivation des arguments de la RIVP pour décider de la résiliation judiciaire des baux.

Devant cette parodie de justice, Les Z’amis de Frigide Barjot lui apportent tout leur soutien face à cette nouvelle injustice caractéristique de la volonté de faire taire celle qui est le leader anti-système et anti-extrêmes du grand mouvement populaire des consciences, de la famille Père-Mère-Enfants et de la juste place du couple homo uni et stable dans la société.

Ils appellent tous les français épris de justice, de paix sociale et d'unité de toutes les familles à se rassembler, autour de Frigide Barjot dans le grand mouvement des consciences le dimanche 17 novembre à Paris. (Lieu et horaire à venir)

Document : Délibéré du tribunal d’instance sur l’affaire Tellenne/RIVP – 30/10/2013

Facebook